ISABELLE GEORGES :
LOVE LINDA,
La vie de Mme Cole Porter

La folle vie du mythique compositeur de comédie musicale américaine, Cole Porter, racontée par Linda, sa femme, sa muse.
Ouvertement homosexuel, il vivra avec elle trente-cinq ans d’un compagnonnage amoureux hors normes.
Dans ce portrait d’une femme brillante, exquise et sophistiquée, éprise de liberté, les chansons immortelles de Cole Porter tissent la trame d’un récit fascinant, célébrant la lumière et les ombres d’une relation défiant toutes les conventions.
Isabelle Georges, accompagnée d’un trio subtilement jazzy, incarne une bouleversante Linda et coule sa voix irréelle dans l’univers du prince des songwriters, auteur de plus de 800 chansons pour Marilyn, Fred Astaire ou Frank Sinatra.
Une adaptation raffinée d’un triomphe off Broadway dans un écrin ciselé par Tristan Petitgirard.
Ouvertement homosexuel, il vivra avec elle trente-cinq ans d’un compagnonnage amoureux hors normes.
Dans ce portrait d’une femme brillante, exquise et sophistiquée, éprise de liberté, les chansons immortelles de Cole Porter tissent la trame d’un récit fascinant, célébrant la lumière et les ombres d’une relation défiant toutes les conventions.
Isabelle Georges, accompagnée d’un trio subtilement jazzy, incarne une bouleversante Linda et coule sa voix irréelle dans l’univers du prince des songwriters, auteur de plus de 800 chansons pour Marilyn, Fred Astaire ou Frank Sinatra.
Une adaptation raffinée d’un triomphe off Broadway dans un écrin ciselé par Tristan Petitgirard.

Isabelle Georges
Chanteuse, auteure et actrice, Isabelle Georges a fait de la scène un univers qui lui ressemble, à la croisée de la comédie musicale, de la chanson française, des répertoires classique, jazz et yiddish. Treize albums témoignent de son inspiration foisonnante, de la sensibilité et de la poésie dont elle infuse ses spectacles, en duo comme avec grand orchestre. Que ce soit au Théâtre des Champs-Élysées, à la Philharmonie de Paris, au Musikverein à Vienne, au Concertgebouw d’Amsterdam, au Cadillac Concert Hall à Shangai ou invitée des Festivals Radio France Occitanie Montpellier, d’Avignon ou d’Edinburgh, Isabelle Georges fait de chacun de ses programmes un hymne à la vie.
La comédie musicale lui offre ses premiers rôles avec Le Passemuraille
de Michel Legrand et Chantons sous la Pluie, tous deux sacrés Molière du meilleur spectacle musical, mais aussi Nymph Errant (UK), Titanic The Musical dans une mise en scène de Jean-Louis Grinda ou La Perichole dans une mise en scène Jérôme Savary.
Très vite, Isabelle met sa créativité au service de spectacles qu’elle imagine : Une étoile et moi, à Judy Garland, La French Touche, Padam Padam, Norbert Glanzberg ou l’inconnu dont le monde entier connait les chansons, Broadway en chanté, Du Shtetl à New York, Amour Amor, Happy End, Dorothée a Bikhele lider, Isabelle Georges chante Bécaud et Oh Là Là de Paris à Broadway ! qui lui offre ses ‘New York debuts’ au légendaire 54 Below.
Pour Broadway Symphonique, Yiddish Rhapsody, C’est si bon ou Ève & Adam, sa toute nouvelle création (musique Bruno Fontaine & livret Florence Seyvos), Isabelle s’entoure d’orchestres prestigieux tels que l’Orchestre de chambre de Paris, l’ONDIF, l’orchestre Philharmonique Royal de Liège, l’Orchestre National des Pays de la Loire, l’orchestre des Pays de Savoie ou encore d’Avignon Provence, Symphonique de Mulhouse ou de Pau Pays de Béarn.
Dotée d’une foi inconditionnelle en l’autre, elle bonifie ses rencontres, avec Jean Salamero qui l’aide à trouver sa voix, Frederik Steenbrink, chanteur et directeur musical de ses spectacles, le compositeur Maury Yeston, le jazzman René Urtreger, le groupe Sirba Octet, les pianistes concertistes Jeff Cohen et Bruno Fontaine, l’accordéoniste Roland Romanelli, le Trio Zadig.
Isabelle a incarné Isadora Ducan dans la comédie musicale Isadora, femme danseuse et libre, Mademoiselle Hennebique dans L’ornithorynque de Daniel Colas et Mrs C. dans la première adaptation musicale mondiale de la nouvelle de Stefan Zweig, 24 heures de la vie d’une femme. Elle est Madame Fabian dans la série américaine We Were The Lucky Ones, produite par 20th Century Fox Télévision.
Chanteuse, auteure et actrice, Isabelle Georges a fait de la scène un univers qui lui ressemble, à la croisée de la comédie musicale, de la chanson française, des répertoires classique, jazz et yiddish. Treize albums témoignent de son inspiration foisonnante, de la sensibilité et de la poésie dont elle infuse ses spectacles, en duo comme avec grand orchestre. Que ce soit au Théâtre des Champs-Élysées, à la Philharmonie de Paris, au Musikverein à Vienne, au Concertgebouw d’Amsterdam, au Cadillac Concert Hall à Shangai ou invitée des Festivals Radio France Occitanie Montpellier, d’Avignon ou d’Edinburgh, Isabelle Georges fait de chacun de ses programmes un hymne à la vie.
La comédie musicale lui offre ses premiers rôles avec Le Passemuraille
de Michel Legrand et Chantons sous la Pluie, tous deux sacrés Molière du meilleur spectacle musical, mais aussi Nymph Errant (UK), Titanic The Musical dans une mise en scène de Jean-Louis Grinda ou La Perichole dans une mise en scène Jérôme Savary.
Très vite, Isabelle met sa créativité au service de spectacles qu’elle imagine : Une étoile et moi, à Judy Garland, La French Touche, Padam Padam, Norbert Glanzberg ou l’inconnu dont le monde entier connait les chansons, Broadway en chanté, Du Shtetl à New York, Amour Amor, Happy End, Dorothée a Bikhele lider, Isabelle Georges chante Bécaud et Oh Là Là de Paris à Broadway ! qui lui offre ses ‘New York debuts’ au légendaire 54 Below.
Pour Broadway Symphonique, Yiddish Rhapsody, C’est si bon ou Ève & Adam, sa toute nouvelle création (musique Bruno Fontaine & livret Florence Seyvos), Isabelle s’entoure d’orchestres prestigieux tels que l’Orchestre de chambre de Paris, l’ONDIF, l’orchestre Philharmonique Royal de Liège, l’Orchestre National des Pays de la Loire, l’orchestre des Pays de Savoie ou encore d’Avignon Provence, Symphonique de Mulhouse ou de Pau Pays de Béarn.
Dotée d’une foi inconditionnelle en l’autre, elle bonifie ses rencontres, avec Jean Salamero qui l’aide à trouver sa voix, Frederik Steenbrink, chanteur et directeur musical de ses spectacles, le compositeur Maury Yeston, le jazzman René Urtreger, le groupe Sirba Octet, les pianistes concertistes Jeff Cohen et Bruno Fontaine, l’accordéoniste Roland Romanelli, le Trio Zadig.
Isabelle a incarné Isadora Ducan dans la comédie musicale Isadora, femme danseuse et libre, Mademoiselle Hennebique dans L’ornithorynque de Daniel Colas et Mrs C. dans la première adaptation musicale mondiale de la nouvelle de Stefan Zweig, 24 heures de la vie d’une femme. Elle est Madame Fabian dans la série américaine We Were The Lucky Ones, produite par 20th Century Fox Télévision.

Frederick Steenbrinck
Une voix de crooner, un goût prononcé depuis toujours pour le théâtre et la musique, une nature inspirée par la conception et l’écriture de spectacles, un appétit constant de découvertes et de rencontres : le spectacle vivant prend tout son sens et sa force sur la scène plurielle que Frederik Steenbrink a inventée, entre Paris et New York, à l’aune de son talent protéiforme, à la croisée de la chanson, du théâtre et de la comédie musicale.
Parallèlement aux premières productions qui font entendre sa voix – Inaccessibles Amours (1996, mise-en-scène Abbès Zahmani), Noces et Banquet (1996, Théâtre de l’Unité), Irma la douce (2000, Jérôme Savary), Titanic (2000, Jean-Louis Grinda) –, il interprète ses propres compositions dans les spectacles de chansons Le Passager et Comme si, qui le conduisent en 2003, après un séjour new-yorkais à la New School University (master class de Performance for Singers), aux premières parties de Madame Marguerite d’Annie Girardot (L’Olympia) et de Que du bonheur d’Annie Cordy (Casino de Paris).
Cette époque est aussi celle de plusieurs prix obtenus dans des concours de chanson en France et aux Pays-Bas, où il est né, et d’incursions au cinéma dans Les Enfants du printemps (2000, réalisation Marco Pico) et Désaccord parfait (2006, Antoine de Caunes). Il est également en haut de l’affiche des spectacles Mon coeur fait boum (2003) et Chopin, chanson de Daniel (2005)
et travaille avec des artistes comme Herman van Veen, Ivo Niehe, Caroline Nin et le Sirba Octet.
Sa rencontre avec la chanteuse Isabelle Georges et la création d’Encore Music lui ouvrent des horizons plus larges. Il y investit tout ce qui le nourrit et l’inspire, sans hiérarchisation aucune : Brahms, Rachmaninov ou Bach, mais aussi Cole Porter, Irving Berlin et Rodgers and Hart ; ou encore l’univers lyrique de Verdi, Puccini ou Wagner. Ainsi, naissent, avec Isabelle Georges, Une Étoile et moi (2003), Padam Padam (2010), Broadway en chanté (2012), Chante ! (2014), Amour Amor (2016), Happy End (2018), Lumière sur Broadway (2017), Oh là là ! et Isadora (2019). Ensemble, ils assurent la création (mise en scène et écriture) des programmes symphoniques Broadway symphonique (2014), C’est si bon (2018) et Que du bonheur (2019).
Une voix de crooner, un goût prononcé depuis toujours pour le théâtre et la musique, une nature inspirée par la conception et l’écriture de spectacles, un appétit constant de découvertes et de rencontres : le spectacle vivant prend tout son sens et sa force sur la scène plurielle que Frederik Steenbrink a inventée, entre Paris et New York, à l’aune de son talent protéiforme, à la croisée de la chanson, du théâtre et de la comédie musicale.
Parallèlement aux premières productions qui font entendre sa voix – Inaccessibles Amours (1996, mise-en-scène Abbès Zahmani), Noces et Banquet (1996, Théâtre de l’Unité), Irma la douce (2000, Jérôme Savary), Titanic (2000, Jean-Louis Grinda) –, il interprète ses propres compositions dans les spectacles de chansons Le Passager et Comme si, qui le conduisent en 2003, après un séjour new-yorkais à la New School University (master class de Performance for Singers), aux premières parties de Madame Marguerite d’Annie Girardot (L’Olympia) et de Que du bonheur d’Annie Cordy (Casino de Paris).
Cette époque est aussi celle de plusieurs prix obtenus dans des concours de chanson en France et aux Pays-Bas, où il est né, et d’incursions au cinéma dans Les Enfants du printemps (2000, réalisation Marco Pico) et Désaccord parfait (2006, Antoine de Caunes). Il est également en haut de l’affiche des spectacles Mon coeur fait boum (2003) et Chopin, chanson de Daniel (2005)
et travaille avec des artistes comme Herman van Veen, Ivo Niehe, Caroline Nin et le Sirba Octet.
Sa rencontre avec la chanteuse Isabelle Georges et la création d’Encore Music lui ouvrent des horizons plus larges. Il y investit tout ce qui le nourrit et l’inspire, sans hiérarchisation aucune : Brahms, Rachmaninov ou Bach, mais aussi Cole Porter, Irving Berlin et Rodgers and Hart ; ou encore l’univers lyrique de Verdi, Puccini ou Wagner. Ainsi, naissent, avec Isabelle Georges, Une Étoile et moi (2003), Padam Padam (2010), Broadway en chanté (2012), Chante ! (2014), Amour Amor (2016), Happy End (2018), Lumière sur Broadway (2017), Oh là là ! et Isadora (2019). Ensemble, ils assurent la création (mise en scène et écriture) des programmes symphoniques Broadway symphonique (2014), C’est si bon (2018) et Que du bonheur (2019).

Cyril Drapé, contrebasse
Cyril Drapé découvre la musique enfant en étudiant la guitare classique et la basse électrique au conservatoire de Chartres. À 18 ans, il commence la contrebasse et intègre le CNSM de Paris. Dès lors, Cyril joue ou étudie avec Joe Sanders, Gerald Clayton, Logan Richardson, Or Bareket, Viktor Nyberg, Riccardo Del Fra ou encore Rick Margitza. Il se produit sur diverses scènes ou festivals de renom (Olympia, La Cigale, Le Bal Blomet, Le Duc des Lombards, Solidays, Rock en Seine, Summersonic, Getxo Jazz Festival...) Son jeu, à la fois mélodique et rythmique, fait de lui un bassiste/contrebassiste particulièrement sollicité sur la scène parisienne. Sa polyvalence musicale lui permet d’aller du Jazz (Monika Kabasele, Tùca, Frederik Steenbrink, Isabelle Georges, Lavender Walk, Alexis Valet, Hervé Sellin, Giulio Ottanelli...) à la pop (Kids Return) en passant par le rap (Alfa Wann, Selman Faris).
Un talent qui enseigne la contrebasse et la basse électrique à l’American School of Modern Music de Paris.
Cyril Drapé découvre la musique enfant en étudiant la guitare classique et la basse électrique au conservatoire de Chartres. À 18 ans, il commence la contrebasse et intègre le CNSM de Paris. Dès lors, Cyril joue ou étudie avec Joe Sanders, Gerald Clayton, Logan Richardson, Or Bareket, Viktor Nyberg, Riccardo Del Fra ou encore Rick Margitza. Il se produit sur diverses scènes ou festivals de renom (Olympia, La Cigale, Le Bal Blomet, Le Duc des Lombards, Solidays, Rock en Seine, Summersonic, Getxo Jazz Festival...) Son jeu, à la fois mélodique et rythmique, fait de lui un bassiste/contrebassiste particulièrement sollicité sur la scène parisienne. Sa polyvalence musicale lui permet d’aller du Jazz (Monika Kabasele, Tùca, Frederik Steenbrink, Isabelle Georges, Lavender Walk, Alexis Valet, Hervé Sellin, Giulio Ottanelli...) à la pop (Kids Return) en passant par le rap (Alfa Wann, Selman Faris).
Un talent qui enseigne la contrebasse et la basse électrique à l’American School of Modern Music de Paris.

Nicolas Drupp, batterie
Originaire de Montpellier, Nicolas Grupp se passionne pour la batterie dès l’âge de treize ans. Adolescent, il fait ses premières armes dans un groupe de rock et se forme, par la suite, au Jam, école de musique à Montpellier, où il apprend le jazz, la musique ouest africaine et la musique Antillaise. Il voyage, avec sa batterie, au Mali en 2005, 2008 et 2016, pour jouer et apprendre les rythmes des Touaregs. À cette occasion, il accompagne Tinariwen et rencontre de nombreux artistes Maliens. Pour compléter sa formation, Nicolas rejoint le CMDL, école de Didier Lockwood et obtient son diplôme avec mention très bien.
Aujourd’hui basé à Paris, Nicolas participe à de nombreux projets jazz et de musique du monde. Il se produit en France et à l’étranger avec des artistes tels que : Josef Josef, Tamikrest, Levis Rein- hardt, Robby Marshall, Justin Adams, Terakaft... Dans des festivals comme Sziget, Glastonbury, Printemps de Bourges... Et en tournée aux États-Unis, en Amérique du sud, en Asie, en Russie et en Afrique de l’Ouest. En 2020 Nicolas apparait dans la série The Eddy sur Netflix réalisée par Damien Chazelle.
Originaire de Montpellier, Nicolas Grupp se passionne pour la batterie dès l’âge de treize ans. Adolescent, il fait ses premières armes dans un groupe de rock et se forme, par la suite, au Jam, école de musique à Montpellier, où il apprend le jazz, la musique ouest africaine et la musique Antillaise. Il voyage, avec sa batterie, au Mali en 2005, 2008 et 2016, pour jouer et apprendre les rythmes des Touaregs. À cette occasion, il accompagne Tinariwen et rencontre de nombreux artistes Maliens. Pour compléter sa formation, Nicolas rejoint le CMDL, école de Didier Lockwood et obtient son diplôme avec mention très bien.
Aujourd’hui basé à Paris, Nicolas participe à de nombreux projets jazz et de musique du monde. Il se produit en France et à l’étranger avec des artistes tels que : Josef Josef, Tamikrest, Levis Rein- hardt, Robby Marshall, Justin Adams, Terakaft... Dans des festivals comme Sziget, Glastonbury, Printemps de Bourges... Et en tournée aux États-Unis, en Amérique du sud, en Asie, en Russie et en Afrique de l’Ouest. En 2020 Nicolas apparait dans la série The Eddy sur Netflix réalisée par Damien Chazelle.
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photo : Marie Dicharry
Bande annonce
Love Linda
Love Linda
saison 2024 / 2025
Du 5 au 26 juillet 2025
Avignon
Théâtre du Chêne Noir
"« Isabelle chante comme elle respire... Sa grâce à la fois exquise et
bouillonnante manquait cruellement à la scène musicale française ! »
A nous Paris
bouillonnante manquait cruellement à la scène musicale française ! »
A nous Paris
"Une artiste épatante pleine d’entrain et de charme."
Le Monde
Le Monde
" Une présence et un charme fous ! "
Le Parisien
Le Parisien
« Être dans une pièce quand Isabelle Georges est sur scène, c’est comme être dans l’oeil du cyclone et ne jamais vouloir en partir. »
Broadway World
Broadway World
